MIGRATIONS : POUR ABORDER LE THÈME
Ce sont les déplacements
d'individus.
1. ÉMIGRATION
C’est le mouvement fait par une personne qui QUITTE un
pays pour aller s'installer dans un autre. C'est un départ vers l’extérieur.
Pourquoi émigre-t-on ?
Les raisons sont surtout économiques
(généralement, les départs se font de pays pauvres vers des pays développés) ou
liées à la sécurité (le plus souvent politiques) mais aussi d'ordre
familial (pour retrouver des parents à l'étranger).
Comment émigre-t-on ?
Pendant des siècles, l'émigrant partait espérant trouver
une terre accueillante.
De nos jours, les États contrôlent l'accès à leur
territoire. Il faut donc obtenir l'autorisation d'entrée avant de partir
sous peine d'être refoulé aux frontières.
Certains pays accordent des droits d'entrée aux
demandes mais ils trient les candidats. Si l'émigrant obtient le droit d'entrée
il peut partir, séjourner et travailler dans le pays d'accueil pendant une
durée déterminée, qui peut être renouvelable. Sur place il peut dans certaines
conditions tenter d'obtenir la nationalité du pays.
Ceux qui ne correspondent pas aux critères fixés par
les pays d'accueil recourent à l'émigration clandestine. Trop souvent le
voyage qui est fait dans des conditions effrayantes est très éprouvant, voire
mortel.
Certains pays accordent le droit d'asile pour
les réfugiés politiques en raison de leur signature de la convention
internationale relative aux réfugiés votée par les États membres de l'ONU (1951).
Effets de l'émigration sur le
pays de départ
Le départ de personnes qui ne trouvent pas les moyens
de vivre permet de faire baisser la pression sur les ressources disponibles
donc d'éviter des troubles sociaux.
Aujourd'hui, beaucoup d'émigrants qui sont partis
grâce au soutien financier de leur famille, remboursent leurs dettes, ce qui
permet le financement de nouveaux départs. Si l'émigrant a laissé sa famille au
pays, régulièrement il envoie de l'argent qui permet à ceux qui sont restés de
vivre moins mal. Cela peut permettre de financer une amélioration des moyens de
production, une scolarisation des enfants...
Mais ceux qui partent sont souvent les plus jeunes et
les plus dynamiques. Le pays de départ perd donc des personnes qui quittent le
pays au moment où elles pourraient produire et elles vont faire défaut pour
développer leur pays. Cette situation est particulièrement dramatique quand ce
sont des gens qualifiés (médecins, ingénieurs et techniciens, enseignants...),
qui ont coûté cher à former, qui partent.
2. IMMIGRATION
C’est le mouvement fait par une personne qui ENTRE dans
un pays pour s'y installer pendant une longue période ou définitivement. C'est
un mouvement vers l'intérieur.
Comment choisit-on son pays
d'accueil ?
Le pays d'accueil représente d'abord l'espoir, plus ou
moins justifié, de vivre mieux. Les pays les plus recherchés sont ceux qui
offrent des possibilités de travail (même clandestin) ou d'avantages sociaux
(assurances maladies, assurances chômage...).
Généralement l'immigrant essaie d'entrer dans un pays
dont il parle ou au moins comprend la langue, ce qui doit faciliter ses
premiers pas. Pour cela une grande partie des immigrants sud-américains migrent
vers l'Espagne, la majeure partie des migrants d'Afrique sub-saharienne
gagnent la France. Les Pakistanais, Indiens et Sri-Lankais choisissent
le Royaume-Uni.
Effets de l'immigration sur le
pays d'accueil
L'entrée d'immigrés, la plupart du temps de jeunes
adultes, apporte au pays d'accueil une main d'œuvre directement productive. De
plus, il n'a pas financé le coût de formation des immigrés puisque celui-ci a
été assuré par le pays de départ. De plus souvent, les immigrés acceptent des
conditions de travail et de salaires inférieures à celles qu'exigeraient les
travailleurs autochtones, ce qui rend leur travail bon marché et peut permettre
le maintien ou la création d'emploi, donc un enrichissement du pays.
L'augmentation de la population due à l'arrivée des
immigrés va permettre la création d'activités destinées à leur accueil. Il y a
donc augmentation de la consommation donc demande de création d'emploi dans le
commerce, les services publiques, l'agriculture, l'industrie. Les immigrés
consommant cela crée une augmentation des recettes des impôts sur la
consommation, des impôts sur le revenu de leurs salaires, des cotisations
sociales qui sont retenues sur leur salaire...
Le fait d'accueillir des immigrés augmente l'influence
culturelle du pays d'accueil.
Cependant l'entrée de population étrangères peut
risquer de poser des problèmes de cohabitation entre les autochtones et les
immigrés surtout si les civilisations sont très différentes. Le risque de voir
se regrouper les immigrés dans des quartiers homogènes, des ghettos,
peut défavoriser l'intégration. En période de crise économique, se développe la
peur de concurrence pour les emplois qui se raréfient ; cela peut
déboucher sur la xénophobie et des affrontements.
3. L’IMMIGRATION
À L’UNION EUROPÉENNE
Du Traité de
Rome (1957) au début des années 1980, la politique européenne en matière
d’immigration s’inspire du principe de liberté de circulation des travailleurs.
C’est à partir
de la seconde moitié des années 1980 que, peu à peu, est mise en œuvre une
politique plus stricte de contrôle des flux migratoires. La première convention
de Schengen (1985) conclue entre le Benelux, la France et l’Allemagne marque le
début de la réalisation de cette nouvelle politique. La suppression des
contrôles des personnes aux frontières intérieures s’accompagne, dans le même
temps, du renforcement des contrôles aux frontières extérieures. On a prévu
l’adoption d’un visa unique de moins de trois mois, obligatoire pour les
non-communautaires qui veulent pénétrer et circuler en touristes dans l’espace
Schengen, ainsi que des accords de réadmission avec les pays non communautaires
pour les clandestins et les déboutés du droit d’asile, le système d’information
Schengen obligeant les États européens à leur refuser le droit au séjour et à
les expulser. Sur l’espace Schengen actuelle, voir la carte.
D’autres
décisions sont prises dans les années 1990 et 2000 afin d’harmoniser les
politiques d’immigration des États membres. En 2008, le Parlement européen adopte
la « directive retour ». Validée par les ministres de l’intérieur des
27 États membres de l’UE, elle prévoit l’organisation du retour volontaire ou
contraint des étrangers en situation irrégulière dans leur pays d’origine ou un
pays tiers, avec la possibilité d’un enfermement des personnes concernées
pouvant atteindre 18 mois et une interdiction possible du territoire de l’Union
européenne pendant 5 ans (et plus en cas de menace à la sécurité). La même
année, le Conseil européen adopte un Pacte européen pour l’immigration et
l’asile qui prévoit l’harmonisation des politiques d’immigration et d’asile:
- organiser l’immigration légale en tenant compte des priorités, des besoins et des capacités d’accueil déterminés par chaque État membre et favoriser l’intégration ;
- lutter contre l’immigration irrégulière, notamment en assurant le retour dans leur pays d’origine ou vers un pays de transit, des étrangers en situation irrégulière ;
- renforcer l’efficacité des contrôles aux frontières ;
- bâtir une Europe de l’asile ;
- créer un partenariat global avec les pays d’origine et de transit favorisant les synergies entre les migrations et le développement.
Pays
|
Population
(2010) |
Nés à l'étranger
|
%
|
Nés dans un autre Etat de l'UE
27
|
%
|
Nés en dehors de l'UE 27
|
%
|
UE 27
|
501 098
|
47 348
|
9,4
|
15 980
|
3,2
|
31 368
|
6,3
|
Allemagne
|
81 802
|
9 812
|
12,0
|
3 396
|
4,2
|
6 415
|
7,8
|
France
|
64 716
|
7 196
|
11,1
|
2 118
|
3,3
|
5 078
|
7,8
|
Royaume-Uni
|
62 008
|
7 012
|
11,3
|
2 245
|
3,6
|
4 767
|
7,7
|
Espagne
|
45 989
|
6 422
|
14,0
|
2 328
|
5,1
|
4 094
|
8,9
|
Italie
|
60 340
|
4 798
|
8,0
|
1 592
|
2,6
|
3 205
|
5,3
|
Pays-Bas
|
16 575
|
1 832
|
11,1
|
428
|
2,6
|
1 404
|
8,5
|
Grèce
|
11 305
|
1 256
|
11,1
|
315
|
2,8
|
940
|
8,3
|
Suède
|
9 340
|
1 337
|
14,3
|
477
|
5,1
|
859
|
9,2
|
Autriche
|
8 367
|
1 276
|
15,2
|
512
|
6,1
|
764
|
9,1
|
Portugal
|
10 637
|
793
|
7,5
|
191
|
1,8
|
602
|
5,7
|
Danemark
|
5 534
|
500
|
9,0
|
152
|
2,8
|
348
|
6,3
|
MIGRATIONS : POUR EN SAVOIR PLUS
1. DES CARTES :
Migrations en UE (vidéo : carte animée )
2. DES VIDÉOS :
L'immigration en France
Droit d'asile en France : comment ça marche ?
Le parcours géographique du demandeur d'asile
En Espagne, le rêve brisé des immigrés
Espagne: la fin du rêve des immigrés victime de la crise
L'Italie arrive a stopper l'immigration
Suède, un pays rêvé pour les immigrés? (un oeil sur la planète)
Au revoir Allemagne ! Bonjour Turquie !
FRANCE 24-FR-Reportage : UK & immigrés d'Europe de l'Est
Les immigrés polonais privilégient l'Allemagne !
L'immigration en Roumanie
Stigmatisés : Paroles de Roumains // Travailleurs immigrés
Roumanie: le village des fantômes... et des villas de luxe
Immigration clandestine: Un mur de barbelés érigé entre la Grèce et la Turquie
Les Allemands candidats à l'émigration
Un Français expatrié au Canada
Les Français au Québec
Le Québec, nouvel eldorado des Africains formés en France ?
Chers élèves de tous les pays partenaires,
si vous trouviez le thème intéressant, vous
pourriez écrire un texte intitulé « Le rêve d’un migrant » .
À vous de choisir le format et le volume !
À vous de choisir le format et le volume !
Vous pourriez préciser :
- l’origine du migrant (des migrants) dont vous
allez raconter;
- les objectifs de la migration (de quel type de
migration il s’agit) ;
- comment se fait le voyage ;
- quelles sont les conditions d'accueil ;
- l'attitude du migrant une fois arrivé ;
- quelles sont les conditions de vie;
- est-ce qu’il voit son rêve réalisé.
On vous attend avec impatience.
BON COURAGE!
On vous attend avec impatience.
BON COURAGE!
Je pense que le rêve d’un migrant est de rentrer à la maison. La pensée que les parents et les amis l’attendent, tous les mémoires lui donnent de la force de ne perdre pas l’espoir. Chaque émigrant veut qu’il ait la possibilité de baiser la terre maternelle un jour.
RépondreSupprimerBella Stavreva, Bulgarie
Souvent on se demande pourquoi il y a des gens qui vont de travailler et habiter aux autres pays. Pour certains, là il y a plus de possibilité de trouver un boulot mieux payé. Par exemple presque 30% des jeunes Bulgares préféreraient travailler à l'étranger. Sans avoir une bonne éducation ils peuvent gagner beaucoup plus d'argent en travaillant même comme nettoyeurs. Le manque de bons salaires provoque un plus grand problème. Des spécialistes comme médecins, savants et professeurs choisissent travailler à l'étranger. Selon moi la première raison pour l'émigration de la plus grande partie des migrants sont les plus grands salaires que les autres pays peuvent proposer.
RépondreSupprimerAntonina Ivanova, Veliko Tarnovo
D’accord. Pour les Bulgares de nos jours c’est vrai!
SupprimerMy name is Pamela Posturzyńska and I think that emigrant in a foreign country must come face
RépondreSupprimerto face with a foreign language , with alone and with tolerance . Main cause of visits to a foreign country
migrants to seek work, because in Poland it is
difficult to find well-paid work and the second reason is the desire to get an
education that we owe a good foreign
university. Our society is open and tolerant when it comes
to foreigners we are opposed to any conflict. The positive side of the migratory movements in
Europe is meeting new people, cultures,
languages and the ability to connect with people. The journey and explore new parts of the world
to enrich their knowledge not only because of the well-paid job because
we are not robots!
Les rêves d’un migrant
RépondreSupprimerJe viens de Belgique, mais maintenant je vis à Los Angeles aux Etats-Unis. Ma mère et mon père sont restés sans travail, c’est ainsi que nous avons dû déménager. Quand nous sommes arrivés, nous avons été immediatement acceptés. Les conditions de vie ici sont assez bonnes. Nous avons eu un accueil chaleureux de nos voisins et nous avons maintenant une excellente relation. Tout est moins cher et il ya beaucoup de beaus gars. Mes rêves sont devenus réalité. J'espère rester ici pour toujours.
Melisa, Slovénie
Espérons que la mondialisation aura et une telle conséquence.
SupprimerQuel bon scénario !
SupprimerI lived in Macedonia. I had friends there and I went to school there. My dad got a job in SLovenia. After some time, he took my mum, my baby sister and me to Slovenia as well. It was very hard to leave all my friends, my grandma and other relatives who love me. When I came to Slovenia, I didn’t know the town and I couldn’t speak Slovene. I wanted to go back to Macedonia. Then I started going to school in Slovenia. I met some friends. They talked to me, but I didn’t know how to answer. They respected me and helped me to learn to speak SLovene. I was successful. Now I visit another school and I know how to speak Slovene. I have new friends.
RépondreSupprimerDragan
I’m very happy for you. It’s a good example of emigrants’ integration. Bravo, Slovenija!
SupprimerLes rêves d’un migrant
RépondreSupprimerDans mes rêves j’étais un gars. Je suis né à New York. Quand j'ai grandi, je suis devenu enseignant. J'ai eu un emploi pendant 8 ans. J'ai commencé une famille. Mais l'école où je travaillais a été fermé. J'ai dû déménager avec ma famille. Bien sûr, nous avions peur de notre avenir, mais il est important d'avoir de l'espoir. Ma femme et moi, nous avons toujours voulu visiter la Slovénie. Nous avons vu des photos de l'herbe verte infinie. Nous avions assez d'argent pour les billets d'avion et un nouvel appartement quelque part en Slovénie. Quand nous sommes arrivés, nous avons tout de suite commencé à chercher des emplois. J'ai eu un poste d'enseignant après seulement une semaine de recherche. Nous avons fait une maison dans Trbovlje. Nous sommes heureux ici parce que personne n'est pas pressé ici. Les gens sont détendus. Oui, je pense que je suis en train de vivre mes rêves.
Ana (Trbovlje)
Dans la vie réelle, ça arrive aussi. Des gens de pays plus développés comme les États-Unis, la Grande Bretagne etc. préfèrent habiter dans les nouveaux États de l’UE. C’est un bon exemple de la migration vers l’Europe.
SupprimerLes rêves d’un migrant
RépondreSupprimerJe viens de Trbovlje en Slovénie. J'ai eu des problèmes pour obtenir un travail là-bas, alors j'ai décidé de bouger. Juste là où la route pourrait me guider. J'ai planifié mon voyage en Slovénie avec soin. En fin, j'ai décidé d'aller en Australie. Quand je suis arrivée avec mon chien, j'ai eu un appartement et un travail. Je n'ai pas eu de problèmes avec la langue. Je sais très bien l'anglais. J'ai assez bien réussi maintenant et j'ai une famille. Je suis restée en contact avec mes amis et la famille à travers Skype. Je les entends tous les jours. Et l'année suivante, ils ont l'intention de me rendre visite.
Urška
Oui, le niveau de la maitrise de la langue est toujours très important quand on doit choisir un État pour y travailler et vivre.
SupprimerLes rêves d’un migrant
RépondreSupprimerJe suis de Slovénie. Ma famille a déménagé en Nouvelle-Zélande parce que nous avons entendu de la vie meilleure là-bas. Nouvelle-Zélande est un pays très beau et propre. Nos attentes étaient grandes, mais la réalité est tellement meilleure. La population locale est très sympa. Mes deux parents ont trouvé du travail et une maison où nous vivons aujourd'hui est à la campagne. Ici il n'est guère surprenant de voir un ours à partir de notre fenêtre de la cuisine.
Neža
Bravo à toi et à ta famille ! Un très bon exemple de l’intégration des migrants. Mais de quelle espèce sont les ours en Nouvelle-Zélande ?
SupprimerLes rêves d’un migrant
RépondreSupprimerJe viens d'un petit pays. Mon objectif était d'arriver en Argentine en bateau. Notre voyage a été dur. Il nous a fallu 1o jours pour y arriver sur un bateau sans toit avec 8 personnes. Ma sœur et maman étaient parmi eux. Quand nous sommes arrivés en Argentine, nous ne savions pas quoi faire. Nous avons été pris par la police le lendemain. Nous ne les comprenions pas. Ils nous ont donné un accueil temporaire où nous avons vécu pendant presque un an. Ma maman a finalement obtenu un emploi. Ma sœur et moi nous avons commencé à aller à l'école. Nous vivons une vie modeste, mais mes rêves sont devenus réalité.
Gašper
Quel bon scénario ! Véritables aventure, tension et happy end !
SupprimerUne question fréquemment posée entre Bulgares est pourquoi les gens vont travailler à l'étranger. L'émigration des gens à l'étranger est associée aux faibles revenus en Bulgarie. À l'étranger, ils ont la possibilité de travailler et de gagner des salaires plus élevés. Dans les pays qui sont mieux développés, les immigrés ont également des meilleures conditions de vie et une meilleure chance de qualification professionnelle.
RépondreSupprimerMais je pense que la principale raison de la raison de l'émigration des Bulgares à l'étranger sont les revenus bas en Bulgarie.
Kristina PAVLOVA, Classe de 12e D
Veliko Tarnovo (Bulgarie)
D’accord !
SupprimerSalut, j'ai pas lu tous les messages précedents mais je vais répondre au sujet. Laissez des gens rentrer à l'étranger qui ont réellement un besoin urgent, un problème. Bref je pense que c'est un grand sujet d'actualité sur lequel il faut parler ! Bonne soirée les gens
RépondreSupprimerPaweł, Pologne
Oui, nous devons parler de l’émigration parce que ça pose beaucoup de questions.
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJe suis Hristiana, de la Bulgarie. D’après moi les migrations sont quelque chose d’ordinaire de nos jours parce que la situation économique est difficile dans les pays qui ne sont pas aussi grands que la France, les Etats- Unis, l’Allemagne etc. Je pense que l’adaptation est plus facile quand nous savons pourquoi nous le faisons et quand nous sommes avec les gens les plus importants pour nous. Dans la vie il y a beaucoup de difficultés, mais c’est plus facile quand nous avons des proches qui nous soutiennent.
Hristiana BACHVAROVA,XIIe D classe
Très souvent, quand on quitte son pays, ce sont les nouveaux amis et éventuellement la nouvelle famille qui deviennent les plus importants.
SupprimerL'augmentation des migrations peut avoir des avantages, mais très joliment illustré dezavantaje.Acestea se trouve dans le texte et est un très bon exemple dezbatere.Spre peut ajouter que les problèmes surviennent et nature ethnique et traditions qui, souvent, ne peuvent pas être intégrés dans certains pays, ou tout simplement pas accepté par les autres personnes.
RépondreSupprimerOvidiu P.
Roumanie
Personnes dans les pays moins développés vers les pays plus développés vont travailler et aider sa famille. Ils travaillent sous stress, pensant que les enfants méritent le sacrifice.
RépondreSupprimerMadalina S.
De Roumanie
C’est un des rêves des migrants les plus répandus : assurer l’avenir de ses enfants.
SupprimerMigrations ont un rôle important dans le développement de la capacité intellectuelle, la connaissance du nouveau civilization et d'accroître la culture humaine.
RépondreSupprimerNous apprécions l'approche de migrartion à des questions, et nous pensons que la migration a un rôle très important.
Simona Larisa
Roumanie
L’une de mes tantes a immigré en Allemagne depuis plus de 16 ans. De temps en temps elle nous visite. Il y a six ans, j’ai eu la chance de partir en Allemagne pour deux semaines avec ma famille. Nous avons restés chez elle. Alors, les conditions à vivre étaient bons de ce que j’ai vu. Je me souviens encore que tout le monde était trop poli et amical vers les étrangers comme nous. Je crois que c’est difficile de quitter son pays et de s’habituer aux coutumes nouveaux surtout quand on trouve beaucoup de racistes et xénophobes autour de soi.
RépondreSupprimerKaterina Karapencheva
Bulgarie
D’accord. Il faut éviter la xénophobie en Europe unie.
SupprimerL’émigration est le mouvement fait par une personne qui quitte un pays pour aller s'installer dans un autre pour beaucoup de raisons, surtout économiques. Aujourd’hui les États contrôlent l'accès à leur territoire avec l'autorisation d'entrée. Si l'émigrant obtient le droit d'entrée il peut partir, séjourner et travailler dans le pays d'accueil pendant une durée déterminée, qui peut être renouvelable. Malheureusement beaucoup de personnes recourent à l'émigration clandestine. Ceux qui partent sont souvent les plus jeunes. Au contraire l’immigration est le mouvement fait par une personne qui entre dans un pays pour s'y installer pendant une longue période ou définitivement. Généralement l'immigrant essaie d'entrer dans un pays dont il parle ou au moins comprend la langue. Une grande partie des immigrants sud-américains migrent vers l'Espagne, les migrants d'Afrique sub-saharienne gagnent la France. Les Pakistanais, Indiens et Sri-Lankais choisissent le Royaume-Uni. La plupart d'immigrés apporte au pays d'accueil une main d'œuvre productive. Ils acceptent des conditions de travail et de salaires inférieures à celles d’autres pays. Le fait d'accueillir des immigrés augmente l'influence culturelle du pays d'accueil, mais l'entrée de population étrangère peut provoquer des problèmes de cohabitation parce que les civilisations sont très différentes. Du Traité de Rome en 1957 au début des années 1980, la politique européenne en matière d’immigration s’inspire du principe de liberté de circulation des travailleurs. La première convention de Schengen (1985) conclue entre le Benelux, la France et l’Allemagne marque le début de la réalisation d’une nouvelle politique. On a prévu l’adoption d’un visa unique de moins de trois mois, obligatoire pour les non-communautaires qui veulent pénétrer et circuler en touristes dans l’espace Schengen. Le système d’information Schengen obligeant les États européens à leur refuser le droit au séjour et à les expulser. D’autres décisions sont prises dans les années 1990 et 2000 afin d’harmoniser les politiques d’immigration des États membres. En 2008, le Parlement européen adopte la « directive retour » qui prévoit l’organisation du retour volontaire ou contraint des étrangers en situation irrégulière dans leur pays d’origine ou un pays tiers. Le Conseil européen adopte un Pacte européen pour l’immigration et l’asile qui prévoit l’harmonisation des politiques d’immigration et d’asile. Il veut organiser l’immigration légale, favoriser l’intégration, renforcer l’efficacité des contrôles aux frontières, favorisant les synergies entre les migrations et le développement.
RépondreSupprimerFEDERICA NICOSIA IVème année Lycée Linguistique – Istituto Paritario “San Giuseppe” – Catane, Italie
Oui, l’immigration, surtout pendant les années de la crise, entraîne beaucoup de problèmes dans les cadres de l’UE. Voilà pourquoi elle est très souvent en focus des décisions des gouvernements nationaux, du Parlement européen, de la Commission européenne etc.
SupprimerLE REVE D’UN MIGRANT
RépondreSupprimerL’histoire commence avec l’immigration d’une famille bulgare composée des parents, leur fils et leur fille. La motivation de cette immigration est le travail parce que la Bulgarie a un bas développement économique. Ils sont dirigés vers l’Italie pour trouver un future meilleure et pour une vie nouvelle. Leur voyage est très intense parce qu’ils décident de partir en voiture. Juste arrivés, ils réalisent la diversité de la condition de vie ; bien que l’Italie traverse une grande crise économique, cependant la situation est meilleure que en Bulgarie. Maintenant cette famille traitent les problèmes avec plus de sérénité et plus volonté de vivre. Les conditions sont améliorées : la situation économique qui ravageait la famille est résolue et elle peut avoir le prestige qu’ils veulent. De nombreuses familles désirent changer leur destin malheureusement ruiné par la situation négative qui est présent en Bulgarie.
ROBERTA SCIELZO IVème année Lycée Linguistique – Istituto Paritario “San Giuseppe” – Catane, Italie
La migration a toujours été un problème en particulier pour les pays les plus pauvres, mais un enrichissement pour les pays qui acceptent la culture. Les pauvres ont peur de leur avenir, mais il est important d'avoir de l'espoir. Comme en témoignent les divers commentaires <>.
RépondreSupprimerJe suis moi-même de nationalité bulgare, et je peux comprendre très bien quels sont les problèmes qui peuvent survenir et inciter une personne à émigrer. Jusqu'à il y a quelques années, les paramètres qui ont conduit à ce choix étaient économiques, maintenant dans les pays qui sont mieux développés économiquement, les immigrés ont également des meilleures conditions de vie et une meilleure chance de qualification professionnelle.
C'est parce que une fois ,sans avoir une bonne éducation, ils pouvaient gagner plus d'argent, mais maintenant l'environnement de travail est plus exigeant.
La pensée que quelqu'un nous attend, toutes les mémoires et les vols de la fantaisie nous donnent la force de ne pas perdre l’espoir.
Il y a un échange d'enrichissement culturel (aussi pour la même personne): s'habituer à la culture des autres et apprendre à être tolérant, mais pour moi le goût de toucher mon pays n'a pas de limites. J'ai grandi avec la culture italienne que je porte à l'intérieur comme bagage culturel, mais avoir certaines traditions dans le cœur, un certain type de musique, la nourriture, etc ... et non pas parce qu'ils ont été inculquées, est unique. c'est simplement unique et encourageant se sentir d'appartenir à un pays.
En Bulgarie, jusqu'à récemment, il était difficile de traverser la frontière. Beaucoup de gens ont risqué leur vie, ils se cachaient et ils pourraient prendre certains trains avec une direction inconnue, la chose importante était de sortir des frontières.
Une fois que le «voyageur» était hors de danger, il devait donner un débouché pour sa vie et celle des membres de leur famille qui sont à sa charge. Une fois, les gens partaient à l'aventure, peut-être plusieurs fois sans même connaître la langue parce qu'ils ne savaient pas dans quel pays demander l'asile. Dans les jours d'aujourd'hui les choses sont plus programmées, en essayant d'avoir déjà le soutien de quelqu'un: avoir un toit sous lequel dormir et manger.
Il est difficile d'accepter ce qui est différent, même si aujourd'hui il est plus facile de rencontrer quelqu'un avec différentes mentalités et traditions et pour cela se situe une relation encore plus élevée de «compétitivité» et de jugement envers ceux qui sont différents. C'est mauvais quand quelqu'un est mis à l'honneur dans un sens négatif: << Pourquoi ne retourne-t-il pas dans son pays? >>.
Les Bulgares plutôt qui sont dans autres pays, ils sont plus solidaires les uns avec les autres et pour la seule raison d'être de la même nationalité, ils s'embrassent (ce qui concerne mes expériences quotidiennes). Malgré les malentendus et même si ce pays n'a pas été en mesure de permettre au citoyen d'être heureux, un Bulgare continuera toujours à défendre son pays contre les mépris des autres.
„Емиграция” е думата , която в днешно време присъства все по-често в речниците на хората. Те си мислят, че превръщането им в емигранти е изхода и решението на всичките им проблеми. За съжаление прогрес в тази държава няма.Много от хората съжаляват че тази ситуация няма да се оправи в скоро бъдеще, защото в тази страна никой няма да ни стимулира и да ни помогне да вървим напред за по-добро бъдеще на всички хора. От малки сме си умствено развити и сме свикнали да се борим. Това от една страна е позитивно , защото ни помага да сме по-силни и да се справим с трудностите на живота, за да израстнем като човеци.
VLADIMIRA CHOPOVA , IVème année Lycée Linguistique – Istituto Paritario “San Giuseppe” – Catane, Italie
De nos jours, le monde n’est pas grand – on rencontre des gens de différentes cultures. Mais, je suis d’accord, il faut s’apprendre à être tolérant.
SupprimerJe pense que les gens émigrent pour obtenir une bonne éducation et une meilleure profession. Pour les migrants c’est difficile d'être loin de leurs proches et de s'adapter á un nouveau pays. En arrivant les étrangers n’ont pas de bonnes conditions de vie.
RépondreSupprimerIls habitent pauvrement et ils n’ont pas beaucoup d’argent. Des migrants sont tristes pour leur patrie. Ils étudient et travaillent fort pour réaliser leurs rêves. L'émigration a de nombreux aspects positifs. Des migrants apprennent une nouvelle langue, font la connaissance de nouveaux amis, croisent une culture étrangère. Les étudiants mettent pleine d’efforts d’apprendre la langue étrangère et de terminer ses études. Les travailleurs font aussi des efforts pour envoyer de l’argent à leurs ménages. De plus en plus les gens abandonnent leurs pays pour chercher de meilleures possibilités.
J’ai une cousine qui est partie en Espagne quand elle avait 19 ans. Elle avait suivi le management quatre ans. Maintenant elle travaille dans une grande entreprise. Ma cousine revient en Bulgarie et elle raconte sa vie. Elle parle beaucoup de son travail qui est difficile, mais elle se sent heureuse. Maintenant elle a 28 ans. Elle est mariée et elle a un enfant. Ma cousine est très contente de sa vie et de ses décisions. J’ai des amis qui n`ont pas une bonne opinion sur la vie dans les pays étrangers. Ils trouvent que c’est très difficile de suivre ses rêves à l’étranger car le rêve c’est le but dans notre vie.
Mihaela, Classe de 11e B
Veliko Tarnovo, BULGARIE
Sans doute, il est bien de suivre ses rêves, même à l’étranger ! Mais il faut vraiment avoir une bonne formation pour les réaliser.
SupprimerBonjour, je m’appelle Malik et j’ai six ans. Je suis né dans un petit hameau du Sahara, mais maintenant j’habite dans un pays où il y a beaucoup de travail pour papa et maman, pour qu’ils puissent gagner beaucoup d’argent et que l’on puisse vivre meilleur.
RépondreSupprimerNous sommes venus dans un bateau petit et vieil, rempli de personnes avec le visage triste. Le voyage a été long et j’ai eu très peur et très froid, mais j’ai dormi entre papa et maman. Pendant le voyage un monsieur qui avait un chapeau noir est tombé dans la mer mais personne ne l’a aidé à monter et le bateau ne s’est non plus arrêté. Je ne sais pas ce qui lui est arrivé, peut être qu’il a trouvé une île déserte et il a commencé à y habiter !
Moi je n’aime pas ce lieu, parce que je suis loin de mes amis et de mon hameau ; en plus les gens d’ici nous regardent mal, comme s’ils pensaient qu’on est méchants, et pourtant ils ne nous connaissent pas !
Maman a dit qu’ici je pourrai aller à l’école et apprendre à compter et à lire, je suis content !!
Papa, maman et moi, nous habitons une petite maison avec deux autres familles. L’eau du robinet est complètement transparente, je n’avais jamais vu une chose pareille.
Papa se lève très tôt pour aller au travail et il arrive très tard. Maman dit qu’il n’est pas bien payé, mais qu’il ne dit rien pour ne pas perdre son emploi.
J’espère qu’un jour mes parents auront tout ce qu’ils méritent !
Bisous,
Malik.
Laura Iglesias Gondar. O Grove (Espagne)
Bravo ! Encore un bon scénario qui nous montre les difficultés du voyage d’un grand nombre des migrants vers l’Europe. Et quand même on sent également l’espoir d’une nouvelle vie.
SupprimerMiguel jouait avec un petit camion que son grand-père luis avait offert le jour de son anniversaire.
RépondreSupprimer- Quand je serai grand, je serai routier.
- Pour l’instant tu es encore petit pour décider ce que tu veux devenir- lui a répondu son grand-père.
- Quel a été ton premier travail, papi ?
- C’est une longue histoire, mais j’aimerais bien te la raconter. Moi, je suis né dans un petit hameau en Galice. J’ai grandi avec ma mère parce que mon père avait émigré peut de temps avant ma naissance, et il n’est jamais revenu…
Quand j’ai eu mes 18 ans, j’ai connu celle qui est maintenant ta grand-mère. Une année plus tard elle était enceinte. Dû à la misère et au manque de travail, moi aussi j’ai dû émigrer en Amérique du Sud à la recherche d’un emploi qui me permettrait d’entretenir ma famille, mais j’avais peur de ne jamais revenir, comme mon père.
Je suis allé au port le plus proche pour prendre un bateau qui m’éloignerait de ma terre. C’était un long voyage et je n’ai pas arrêté de penser à ce qui allait se passer : je trouverais un travail ?, j’aurais la possibilité de rentrer ?
Je suis arrivé en Argentine vers midi. Il y avait peu de gens dans la rue, j’ai cru entendre de personnes avec l’accent galicien et je me suis rendu compte que je n’étais pas tout seul, beaucoup d’autres personnes avaient dû partir comme moi. Les gens ont été agréables avec moi, peu de temps après j’ai trouvé un travail dans la construction, je n’étais pas très bien payé mais j’avais de l’argent pour envoyer chez ta grand-mère.
Elle me manquait et je rêvais de connaître ton père. J’avais le mal du pays ! Quinze ans plus tard je suis rentré et je connu ton père, à ce moment-là, la vie a commencé à me sourire !
Lucía Fraga, Ana García, Sara Barreiro, María del Mar Abilleira. O Grove (Espagne)
Bravo ! Une histoire très émouvante sur l’émigration de Galice !
SupprimerC’est l’année 1948, la famille Portas parle de sa possible émigration en Argentine, après une grande révolution en faveur du galicien.
RépondreSupprimerNotre personnage, Xoán, le père de cette famille est alors parti pour avoir la liberté d’écrire en galicien.
Son voyage n’a pas été facile, parce qu’il a dû dépenser toutes ses économies pour acheter con billet.
Beaucoup de personnes se sont moqué de lui pendant le voyage, et tout à cause de sa façon de parler, ils la trouvaient ridicule ! Mais quand il est arrivé en Argentine les choses ont été plus faciles, parce que là-bas il y avait beaucoup d’écrivains galiciens qui étaient partis pour la même raison.
Après quelques-mois là-bas, il s’est rendu compte que ses conditions de vie étaient meilleures et toute la famille a décidé de partir vivre avec lui.
Moraima Pérez Míguez, Antía Blanco Camiña et Abel Arnoso Ferreira. O Grove (Espagne)
C’était une après-midi d’automne quand j’ai décidé de partir de mon pays. J’étais chez moi avec une bouteille à la main. Je me souviens parfaitement du désespoir que j’avais quand je n’avais pas l’option de trouver un travail. J’ai pris le journal de la cafétéria de ma sœur et j’ai commencé à lire les petites annonces de travail. J’ai pris le téléphone et j’ai commencé à téléphoner à tous les numéros qu’il y avait, mais personne ne répondait. J’ai décidé de téléphoner à la famille que j’avais en Allemagne, leur raconter ma situation, alors ils m’ont dit que là-bas je pourrais trouver un travail en rapport avec mes études. J’ai tout quitté. J’ai pris la voiture de ma sœur et je suis parti à la gare routière pour prendre un autobus vers l’Allemagne. Trois jours après j’y étais, chez mes proches à Berlin. Le voyage avait été fatigant. J’ai décidé de commencer le plutôt possible dans l’emploi que mes oncles m’avaient offert. Les débuts ont été durs, le travail était trop simple pour toutes mes connaissances, je connaissais bien l’allemand, mais j’avais un accent très fort qui était l’objet de plein de moqueries. Mais petit à petit j’ai commencé à améliores et avoir un poste meilleur, et un autre, et encore un autre jusqu’à maintenant, jour où j’ai ma propre entreprise, une très grande entreprise réputée au niveau international.
RépondreSupprimerLeo, María Álvarez et Angela. O Grove, Espagne.
Manuel n’avait pas beaucoup d’argent, l’argent qu’il avait il l’a parié dans le poker et il l’a doublé, alors il a tout dépensé dans un billet d’avion.
RépondreSupprimerIl a décidé d’aller en Allemagne à la recherche d’un emploi. Quand il est arrivé, il a cherché un endroit où dormir, mais il n’en a pas trouvé, et il a dû dormir à l’aéroport. Personne ne l’a aidé.
Il a cherché du travail pendant deux semaines, enfin il a trouvé un emploi, pas très bon, mais… suffisant pour pouvoir payer un loyer. Après une année, il a économisé suffisamment d’argent pour pourvoir amener sa famille en Allemagne avec lui et commencer à zéro.
Quand sa famille est arrivée il avait été viré de son emploi, alors il a dû chercher un autre et sa femme aussi. Pour les enfants l’adaptation a été plus difficile que prévue, mais les années sont passées et tous leurs rêves sont devenus réels. Ils étaient une grande famille, l’enfant ainé s’était marié et il avait des enfants. Tout le monde était content.
Sara, Tarik, Rodrigo et Andrea. O Grove (Espagne)
L'émigration se rencontre le plus souvent chez les jeunes. Ils émigrent en cherchant leur travail parce que dans les petit pays il n'y a pas de chances pour progresser. Nous apprenons les langues différentes et la plus grande partie émigrera aprés guelgues années. Je voudrais émigrer dans un autre pays, en sachant qu'un jour la Bulgarie sera sans jeunes hommes mais chaque personne peut faire son choix. Je veux d'il n'y a pas émigration mais pour le moment ce n'est pas possible.
RépondreSupprimerStanislava 8ème D
Véliko Tarnovo-Bulgarie
Chaque émigré émigre en pensant qu’il reviendra bientôt dans son pays - là où il est né, là où sont ses proches, ses amis... là où est sa place... Mais peut- être ce n’est pas assez d’être heureux... Souvent à l'étranger il trouve ce qu’il veut - un bon travail, une bonne éducation pour ses enfants, des possibilités différentes... Mais il n’OUBLIE JAMAIS son pays... Ce n’est pas facile de s’adapter à ce nouveau monde... Les étrangers n' aiment pas les émigrés.
RépondreSupprimerJe connais une Bulgare qui a émigré en Espagne pour travailler comme femme de ménage dans une maison. Ici, en Bulgarie elle était économiste mais cela ne lui donnait pas assez d’argent... Comme ça le travail non qualifié à l'étranger donne plus d'argent que le travail qualifié ici... C' est dommage parce que souvent les émigrés ce sont les jeunes... Comme ça la population diminue....
Mila Pénéva, classe de 8e D (BULGARIE)
In every country are a lot of foreginers, also in Poland. Migrations are very popular. People are leaving from different reasons, for example in searching the better life or job. In Poland we can see a lot of people from whole wide world - japanesse, australian or indian. These people have different culture and language. When they are in another country than their, they can feel lost and lonley. We should help them and show that they can feel in our country almost like in their homeland. In Poland majority people tolerate foreginers.
RépondreSupprimerJustyna Klepacka, Pologne
L'augmentation des migrations peut avoir des avantages, mais il y a beaucoup des desavantages. L'un de ses desavantages est la probleme de rester en contact avec leur famille;bien sur il y a Skype mais ça ne suffit pas toujours. Les immigrants migrent pour gagner leur vie en travaillant et pour viver dans des meuilleur conditions. Et a mon avis il est difficile d'accepter ce qui est différent dans les pays qu'il ils migrent aussi
RépondreSupprimerHüma (Turquie).
Les points communs de ces documents sont : l'ouest est le meilleur. Pour moi l'ouest est dans une meilleure situation economique en tout cas j'ai jamais préferé y aller car l'humanité aussi est important pour moi. Vous pouvez avoir une grosse fortune mais ça ne sert a rien sans amis et sans votre famille . Je pense comme James Dean : vivre rapidement mourir jeune pour que ton cadavre soit beau!
RépondreSupprimerEce - Turquie
De ma part, être un migrant est très difficile moralement et physiquement, car à partir d'un moment, vous devenez obligé d'émigrer ou d'immigrer. Donc vous devez vous séparer de votre pays, de la terre maternelle, ça doit etre vraiment dure. Pourquoi les gens - plutot les gens qui vivent dans les pauvres pays de l'Afrique, de l'Amérique du sud et de l'est- émigre vers les pays d'europe au Canada ou en Amerique? Car dans leur propre pays ils sont affamés, ils ne gagnent pas assez d'argent. Donc ils émigrent avec le rêve d'une vie meilleure, ils y travaillent sans assurance et sans sécurité pour peu d'argent. A la fin, leur vie devient très étrange. Tout sce qu'ils ont fait c'est pour rien. C'est à cause de l'injustice du systeme qui marche sur notre monde.
RépondreSupprimerEzel, TURQUİE
Pour les émigrants, le risque le plus grave est la déception des attentes: Quand ils émigrent, comme ils ont quitté tout ce qu'ils possèdent, ils ont de grands rêves, mais malheureusement c'est possible qu'ils ne puissent pas trouver ce qu'ils veulent. En général, l'émigration se réalise des pays pauvres et peu développés (souvent les pays du Moyen Orient) vers les pays riches et développés (les pays d'ouest) donc les attentes les plus importantes des émigrés sont économiques. Comme les choix et les conditions de travails ne sont pas suffisants ils quittent leurs pays pour gagner de l’argent mais en arrivant à leur destination, ils voient que ce n'est pas très facile de trouver un travail qu'ils pourront faire. Ils voient seulement le côté brillant des pays où ils émigrent mais pas le côté véritable. En plus il existe des problèmes d'adaptation: Ils doivent s'adapter à une nouvelle culture, langue, ville etc. En conclusion, leur vie peut devenir plus difficile que l'ancienne mais pas plus facile en émigrant.
RépondreSupprimer#
Berfin et Oğul Can, Turquie
Vous avez présenté une image très précise de migration vers l’Europe.
SupprimerLes personnes migrent pour chercher une meilleure vie. Les jeunes migrent pour une meilleure formation. Les personnes qui travaillent - pour une meilleure réalisation. Il y a onze ans ma grand-mère a émigré en Grèce pour chercher un travail parce qu’elle voulait gagner plus d’argent. Avec de l’argent gagné elle a achète un appartement et maintenant grâce a elle ma famille y habite.
RépondreSupprimerNeli SIMEONOVA (BULGARIE)
C’est un bon exemple que même les gens plus âgés veulent assurer un meilleur avenir de sa famille en partant pour l’étranger.
SupprimerJe suis entièrement d'accord, l'émigration est un problème très commun dans les pays qui se développent,mais ce n'est pas nécessairement une mauvaise chose. Les gens qui émigrent essaient d'assurer une vie meilleure a leur famille, même parfois ils ne réalisent pas combien leur famille en souffre. Si les médecins ou toute personne spécialisée quittent sont pays, cela signifie qu'il a un grave probleme politique.
RépondreSupprimerJe crois que le principal risque pour les émigrés, c'est qu'ils détruisent leur famille et ils ne s'en rendent pas compte.
Les avantages de travailler à l'étranger sont que son salaire serait plus grand, on se sentirait plus en securite, et on pourrait envoyer de l'argent à sa famille.
En conclusion, nous devons admettre que les conditions de travail peuvent être pas mauvais, mais quand vous allez à l'étranger vous vous assumez ce risque quand vous prenez cette décision. Vous êtes au courant qu'il y aura des avantages et des inconvénients.
Gherghe Cristian
CNMK
Roumanie
Oui, il est bien de comprendre les avantages et les inconvénients d’émigration avant de quitter son pays.
SupprimerDe nos jours, beaucoup de Bulgares émigrent en cherchant une meilleure vie. Une partie d’eux retournent en Bulgarie parce qu’ils n’ont pas pu réaliser leurs rêves autre part. Mais il y a d’autres qui restent à l’étranger et ils réalisent bien leurs projets.
RépondreSupprimerMon cousin est parti pour Londres il y a déjà treize ans. Maintenant il est marié et il a un bon travail. Selon lui il est très difficile de s’habituer dans une nouvelle ville, dans un nouveau pays parce que tout est inconnu et très diffèrent. De l’autre côté, il est heureux : il a une bonne famille et beaucoup d’amis. Mais bien sûr la Bulgarie lui manque. Chaque été il revient pour voir ses parents.
Je pense qu’aller habiter dans un autre pays n’est pas facile parce que une telle vie peut être solitaire. Mais si c’est lié avec tes rêves, quand même tu peux essayer.
Anastasiya STOEVA, classe de 9e D (BULGARIE)
Une de mes meilleurs amies a émigrée en Espagne avec ses parents. Ils ont émigrés il y a déjà trois ans mais ils ne parlent pas bien la langue espagnole. Malgré la crise de dernières années, ils disent que la situation en Espagne est meilleure que celle en Bulgarie. Je pense qu’on ne doit pas les accuser. Chacun a le droit de chercher la réalisation de ses rêves.
RépondreSupprimerDenitsa IVANOVA, classe de 9e D (BULGARIE)
Qu’est-ce je veux dire sur l’immigration en Europe ? Le migrant, soit d’un autre pays membre ou d’un pays européen mais hors de l’UE, soit d’un autre continent doit être sûr où exactement veut-t-il aller et si c’est la meilleure option pour lui. Il faut connaître la situation dans le pays cible et savoir si l’économie de cet Etat a besoin d’une telle ou autre main d’œuvres. C’est très essentiel pour trouver un travail, une habitation etc. D’autre part, l’énorme vague de personnes qui immigrent illégalement, juste à la poursuite du bonheur et dans l’espoir de trouver une meilleure vie, est un grand risque même pour les immigrés qui ne peuvent pas réaliser ses rêves.
RépondreSupprimerAna-Maria Gelova, Bulgarie
mais vous parlez de la Bulgarie ou non?
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